Méthode Tomatis sur Pau - Pyrénées atlantiques (64)

De nombreuses personnes témoignent d'être gênées lorsqu'elles se trouvent dans un environnement bruyant. Parfois cela peut même aller jusqu'à la souffrance...
Pour certains,la gêne sera seulement pour communiquer dans un endroit sonore; pour d'autres, ce seront les sons aigus qui seront insupportables; et pour quelques uns, l'intolérance au bruit sera telle qu'ils éviteront tous les lieux publics où le niveau sonore est un peu élevé.

Pourtant,l'oreille a aussi été prévue pour nous protéger du bruit :

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Dans l'oreille moyenne, se trouvent les petits muscles du marteau et de l'étrier qui ont une action sur la membrane du tympan.
muscles oreille moyenneAinsi, si le son est faible et qu'on veut l'entendre, le muscle de l'étrier se tend et tend à son tour le tympan sur lequel le son va pouvoir résonner. C'est de là que vient l'expression "tendre l'oreille".

Par contre, si le son est trop fort, l'étrier va entraîner le muscle du marteau pour détendre le tympan. Le son va ainsi être amorti et protéger l'oreille interne.

Pendant presque 50 ans, le Dr Tomatis a travaillé sur l'oreille. Ses connaissances , d'abord de médecin ORL puis de chercheur en électro-accoustique,lui ont permis d'aller beaucoup plus loin que ne le fait la médecine officielle et de démontrer que l'oreille moyenne a plus un rôle d'adaptation que de transmission.

Ainsi,si l'oreille interne sert à entendre, l'oreille moyenne sert à écouter grâce à ses petits muscles qui peuvent se tendre pour mieux viser le son ou se détendre pour  protéger des sons agressifs.

Mais parfois,ces muscles sont devenus paresseux et ils ne sont plus assez efficaces. On ne peut plus alors se protéger du bruit comme il nous le serait utile.
C'est pourquoi le Dr Tomatis a mis au point un appareil modificateur d'écoute appelé oreille électronique qui permet de remuscler en douceur ces petits muscles. Après quelques heures de stimulation sonique les symptômes d'intolérance au bruit s'atténuent puis finissent  par disparaitre pendant la cure sonique.

J'étais vraiment très gênée dans les endroits bruyants, qui résonnent; également dans les moments où trop de personnes parlent en même temps (réunion de travail ou familiale, activité festive, lieux publics...). J'avais du mal à entendre les autres dans ces atmosphères et cela me demandait un grand effort pour supporter le bruit.

Depuis la cure sonique, je ne ressens plus cette gêne: J'arrive à communiquer dans des endroits sonores et je supporte mieux le bruit de manière générale.

      Laurence, 39 ans.

J'ai commencé la cure sonique stressée, tendue. Mon travail à l'époque était difficile et ne me permettait pas de m'épanouir, mais je n'arrivais pas à en sortir.

J'étais si crispée que mes oreilles étaient physiquement douloureuses et je souffrais d'acouphène. Je n'écoutais plus de musique, les sons m'agressaient.

Le cadre bienveillant de la cure,la possibilité de réaliser des créations plastiques en toute liberté pendant l'écoute, m'ont apporté, dés le début, une véritable bouffée d'oxygène.

Au fil des séances, les douleurs des oreilles ont disparu, le monde des sons est redevenu agréable, l'acouphène s'est bien atténué.

J'ai terminé la cure ayant retrouvé beaucoup de joie et de liberté. J'ai pu, quelques temps après changer de projet professionnel et me retrouver en harmonie avec moi-même et mes réelles potentialités.

        Françoise, 36 ans.

J'ai pris beaucoup de plaisir à faire les séances d'écoute. C'était une période difficile pour moi, j'étais professeur et je ne supportais pas le bruit ! Je n'arrivais même plus à écouter de la musique...
Pendant les séances, je me suis mis à peindre. Madame Renous regardait mes dessins et parfois nous échangions sur leur contenu. Ils étaient à l'image de ce qui se passait en moi. Lorsqu'ils sont devenus plus harmonieux, je me suis sentie aussi plus détendue et plus confiante. A la fin de ma cure sonique ma tristesse avait disparu. Je supportais à nouveau le bruit. Ma mémoire était aussi devenue meilleure.
Ce qui reste surtout, c'est que maintenant la musique m'accompagne tous les jours de ma vie.

       Arlette, 58 ans.

Les séances ont diminué petit à petit l'inconfort, voire la souffrance que j'avais dans une atmosphère bruyante.

J'ai pu mettre en place des outils adaptés aux environnements différents que je rencontrais, ne me sentant plus dépassée ni dépossédée de mes moyens.

    Marinette, 62 ans.

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